La dyscalculie « potentielle » : sa prévalence et sa relation avec l'« innumérisme »

Thématique : L’absence de consensus relativement aux critères de la dyscalculie conduit à une cacophonie quant à sa prévalence. Depuis l’article fondateur de la notion de dyscalculie développementale de Kosc, de nombreux auteurs ont avancé des pourcentages de l’ordre de 6 à 7%. Dans cette intervention, la méthodologie et les critères statistiques mis en œuvre par l’auteur sur une dizaine de milliers d’enfants de 8-9 ans et 11-12 ans seront exposés pour démontrer que, en fait, le pourcentage d’enfants potentiellement dyscalculiques ne dépasse guère 1%.  Conférence donnée par :  Jean-Paul Fischer, Professeur de psychologie du développement, Université Nancy 2, France. Ancien professeur de mathématiques.  Dans le cadre du : Sympsium sur la Dyscalculie développementale et les troubles d’apprentissage en mathématiques 3 et 4 novembre 2011  Pour en savoir plus et pour vous inscrire, cliquez ici!