Les dyscalculies vues sous l’angle des codes

Thématique : Un écolier peut-il être dyscalculique et résoudre les petits problèmes arithmétiques ? Peut-il être dyscalculique et calculer oralement ? ou dyscalculique et calculer par écrit ? Si oui, faut-il conclure qu'il n'existe pas d'épreuve de calcul qui garantisse le dépistage de la dyscalculie ? L'approche neurocognitive du nombre et du calcul offre une alternative. La dyscalculie serait multiple et dépendrait des codages du nombre et des opérations. Certaines lacunes et disconnexions entre différents codes et systèmes opératoires font la spécificité de chaque dyscalculie et offrent des pistes de remédiation. Conférence donnée par :  François Gaillard, Ph.D.,  Professeur émerite, Université de Lausanne, Suisse.  Dans le cadre du : Sympsium sur la Dyscalculie développementale et les troubles d’apprentissage en mathématiques 3 et 4 novembre 2011  Pour en savoir plus et pour vous inscrire, cliquez ici! 

La dyscalculie développementale : État actuel des connaissances

<><>Thématique : Cette conférence dresse d’abord un portrait général de la dyscalculie sur les plans épidémiologique et diagnostique, présente ensuite l’état actuel de la recherche ainsi que les consensus et les questionnements qui subsistent sur le sujet, et propose enfin un modèle de travail clinique des différents sous-types de dyscalculie fondé sur les données probantes. <><> <>Conférence donnée par : <><> <><>Bruno Gauthier, Ph.D., <><>Neuropsychologue Hôpital Rivière des Prairies, Montréal.<><><><> <><>Dans le cadre du : Sympsium sur la Dyscalculie développementale et les troubles d’apprentissage en mathématiques <><>3 et 4 novembre 2011 <><> <><>Pour en savoir plus et pour vous inscrire, cliquez ici!<><> 

La dyscalculie « potentielle » : sa prévalence et sa relation avec l'« innumérisme »

Thématique : L’absence de consensus relativement aux critères de la dyscalculie conduit à une cacophonie quant à sa prévalence. Depuis l’article fondateur de la notion de dyscalculie développementale de Kosc, de nombreux auteurs ont avancé des pourcentages de l’ordre de 6 à 7%. Dans cette intervention, la méthodologie et les critères statistiques mis en œuvre par l’auteur sur une dizaine de milliers d’enfants de 8-9 ans et 11-12 ans seront exposés pour démontrer que, en fait, le pourcentage d’enfants potentiellement dyscalculiques ne dépasse guère 1%.  Conférence donnée par :  Jean-Paul Fischer, Professeur de psychologie du développement, Université Nancy 2, France. Ancien professeur de mathématiques.  Dans le cadre du : Sympsium sur la Dyscalculie développementale et les troubles d’apprentissage en mathématiques 3 et 4 novembre 2011  Pour en savoir plus et pour vous inscrire, cliquez ici! 

Corrélats neuronaux de la dyscalculie développementale

Thématique : Nous nous pencherons sur les corrélats neuronaux de la dyslexie développementale. Plus spécifiquement, nous mettrons en évidence le rôle du cortex pariétal dans les fonctions arithmétiques et les troubles du calcul. Finalement, les techniques de neuromodulation comme approche thérapeutique seront abordées. Conférence donnée par :  Hugo Théoret, Ph.D., Professeur, département de psychologie, Université de Montréal. Chercheur, CHU Sainte-Justine. Dans le cadre du : Sympsium sur la Dyscalculie développementale et les troubles d’apprentissage en mathématiques 3 et 4 novembre 2011  Pour en savoir plus et pour vous inscrire, cliquez ici!